Cancer de l’utérus

Cancer de l’utérus

Etude de cas

Une personne est venue me voir pour un cancer stade 4.
Diagnostiquée à l’âge de 26 ans, son médecin lui proposa une conisation, c’est-à-dire une ablation partielle du col et de l’utérus. Vu son âge et son envie d’avoir un autre enfant, elle voulut essayer autre chose avant l’opération.
Je lui ai donc proposé des séances très rapprochées vu l’urgence et ne voulant pas interférer sur le traitement de son médecin.
Il se trouve qu’à l’âge de 16 ans, elle tombe enceinte et se voit complètement dépourvue face à cette situation.sa famille lui impose d’avorter, mais elle veut garder l’enfant. De plus, le père de l’enfant, très jeune lui aussi, la quitte.
Après deux séances en ayant mis ces ressentis en lumière, elle se sentait mieux.
J’ai décidé néanmoins de la faire participer à une constellation familiale pour finaliser le travail.
A l’époque, une fois par mois, nous nous réunissions avec une dizaine de thérapeutes pour expérimenter plusieurs techniques.
Je leur ai donc demandé d’aider cette jeune femme. Lors de cette constellation, qui a duré cinq heures, il en est ressorti deux mémoires d’enfants décédés en bas âge, celle de son frère et d’un autre enfant dans sa généalogie.
Quinze jours après, elle fit de nouveaux examens et il n’y avait plus aucune trace de cellules cancéreuses. Cela fait une quinzaine d’années que je continue à suivre son évolution et elle n’a jamais eu de récidive. Elle est maintenant maman d’un autre enfant.
J’ai pu l’aider à plusieurs reprises pour d’autres symptômes, notamment « les jambes lourdes ». A l’époque, elle était serveuse et se dévalorisait de faire ce métier. Après la séance, elle n’eut plus aucun souci avec ses jambes.
J’ai aussi accompagné sa fille de 10 ans dyslexique. Elle confondait le D et le P et faisait une faute d’orthographe à toutes les phrases. Après deux séances, j’ai pu vérifier qu’elle n’avait plus de problème avec sa grammaire.