Douleurs

Depuis 20 ans que j’exerce, j’ai vu défilé de nombreuses personnes avec toutes sortes de douleurs.
Parfois, le fait d’accueillir la douleur, c’est-à-dire de la permettre, lui donner la permission d’être là, suffit à la faire disparaitre. Parfois, nous devons aller à la rencontre de la mémoire qui a déclenché cela.
Les personnes âgées bien sûr que je prends plaisir à accompagner, sont plus sujettes aux douleurs, mais aussi des personnes plus jeunes.

Etude de cas

Lors d’un stage que je suivais en Dordogne, j’ai remarqué qu’une jeune femme se plaignait d’une douleur au genou depuis la veille. Je lui ai proposé de lui faire une séance.
La douleur a commencé quand le formateur a parlé d’amour. En me « branchant « sur son genou, je lui dis que son genou lui dit « stop ». Elle me répond : « Oui, il faut que ça s’arrête ».
« Qu’est-ce qui doit s’arrêter ? »
« L’amour ! d’ailleurs chaque fois que j’ai une relation sérieuse avec un homme, j’arrête la relation et je fais cela depuis 13 ans. »
« Ah bon ! et que s’est-il passé il y a 13 ans ? »
« Ben à l’époque, j’avais 17 ans et je devais me marier avec mon amoureux mais il est mort dans un accident de moto. »
A ce moment-là, je comprends qu’elle ne veut surtout pas revivre cela et qu’elle arrête ses relations amoureuses avant de s’attacher. Cela se passe plus ou moins consciemment.
Après lui avoir fait une technique pour faire le deuil de son amoureux de l’époque, elle a ressenti de la chaleur sur son genou et la douleur a disparue.
Autre cas :
C’est une patiente âgée de 70 ans doit se faire opérer du genou. On doit lui mettre une prothèse.
Elle me demande si je peux lui faire une séance à la clinique de convalescence car d’après ce qu’elle a entendu, la rééducation est douloureuse.
Je vais donc la voir après quelques jours. La première chose qu’elle me dit, c’est que la salle de rééducation est une salle de torture.
Je lui fais prendre conscience qu’elle s’est conditionné à avoir mal avant de venir ici. Et je lui fais remarquer que ce n’est pas une « salle de torture » mais que les personnes en blouses blanches sont là pour l’aider.
Après une séance d’hypnose où je lui apprends comment permettre à la douleur de s’exprimer au lieu de lutter contre, elle se sent beaucoup mieux. Le lendemain, son kiné n’en revient pas. Elle se prête aux différents exercices avec plaisir et les progrès sont stupéfiants.

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